Vingt mille lieues sous les mers – Jules Verne

Chronique #179

Titre : Vingt mille lieux sous les mers
Auteur : Jules Verne
Éditions : Le Livre de Poche
Genres : Aventure ; Fantastique
ISBN : 978-2-253-00632-9
Pages : 595
Note : 13/20

Résumé :
« Une chose énorme ayant été signalée par plusieurs navires à travers le monde, une expédition est organisée sur l’Abraham Lincoln, une frégate américaine, pour purger les mers de ce monstre inquiétant. À bord se trouvent le Français Pierre Aronnax, professeur au Muséum de Paris, et Conseil, son fidèle domestique. Alors qu’ils s’approchent du fabuleux animal, Aronnax, Conseil et Ned Land, un harponneur canadien, sont précipités dans la mer par deux gigantesques trombes d’eau avant de se retrouver sur le dos du monstre… Qui se révèle être un étonnant sous-marin, le Nautilus, conçu et commandé par le capitaine Nemo, qui paraît farouchement hostile à toute l’humanité ! La plus extraordinaire aventure commence dès lors pour les trois hommes, condamnés à ne plus jamais revoir leur patrie, leurs parents, leurs amis… »

Je suis content, je suis content parce que j’ai pris bien un mois pour lire ce livre. Que je commençais à en avoir assez de ce roman.

Après lecture, je peux dire que c’est un bon livre. Un bon classique mais pas fait pour tout le monde.
La plume est particulière, du sens ou l’histoire est assez lisse. Même s’il se passe des évènements type aventure, avec la façon d’écrire de l’époque on ne ressent pas totalement l’action présente. On ne peut pas vraiment s’immiscer dans l’histoire.

Ce livre est tout de même intéressant, mais assez lent dans sa progression. Il devient malgré tout lourd car beaucoup ‘trop’ de classement dans ce livre. Le personnage de Conseil est un homme aimant tout classer, mais à chaque fois que les personnages croisent une créature marine, il faut que cela soit décrit avec sa classification d’espèce. C’est redondant, mais peut plaire à ceux aimant les listes. J’aime bien, ça apprend des choses, mais pour moi c’est trop redondant, car c’est bien la moitié des pages du roman.

Après, je dois avouer que le personnage du Capitaine Nemo est fascinant mais ne pas avoir de réponses à nos questions est assez frustrant.

C’était une bonne histoire, même trop plate. C’était un classique à lire, mais je n’ai pas pour autant « aimé » cette histoire, ni même « détesté » cette histoire.

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